La déambulation sur le terrain a permis de faire le point sur les futurs espaces publics, parmi lesquels l’esplanade Agnès-Varda, dont les travaux commenceront à l’automne. Sa surface sera plus importante que prévu et une placette verra également le jour, les ajustements permettant d’augmenter de 1700 m2 les espaces publics. La ligne T6 du tram traversera le secteur en 2026. De nombreux équipements publics verront le jour dans ce nouveau quartier : à côté de l’école Rosa-Parks, du complexe sportif Alexandra David-Neel déjà construits et du lycée livré à l’automne, il y aura une crèche, un pôle jeunesse, un cinéma…   Le projet permettra aussi de doubler la surface commerciale du centre-ville, dans le prolongement de l’avenue Henri Barbusse qui sera entièrement piétonnisée. D’ici là, l’occupation temporaire qui démarre en juillet - baptisée Laboratoire extérieur des Gratte-Ciel – permettra de tester des usages et de préfigurer la ville de demain, où il fait bon vivre. « C’est un formidable terrain d’innovation sociale et urbaine, l’antichambre de ce que nous souhaitons expérimenter et construite avec les habitants », a souligné Cédric Van Styvendael.
« Le projet Gratte-Ciel centre-ville revêt une dimension symbolique unique. Il est l’emblème de l’ambition que nous portons. Des logements pour toutes les familles, des espaces de nature, des équipements et services de proximité, des lieux dédiés à la création culturelle… »

En chiffres

- Une centre-ville doublé avec 8 hectares
- 832 logements dont 54 % de logements abordables (en accession et locatif social)
- 231 logements en bail réel solidaire
- 2,7 hectares d’espaces publics piétons arborés, avec 483 arbres plantés
- 19 000 m2 de commerces et services
- 2021-2028 : travaux des espaces publics (plusieurs tranches)

>> Plus d'informations sur le site de Gratte-Ciel centre-ville