Ils ont notamment rencontré les ministres des Affaires étrangères ainsi que le maire de Chouchi, ville avec laquelle Villeurbanne a signé un pacte d’amitié en mai 2015. Sur place, avec les autorités locales, la délégation villeurbannaise a pu évaluer les besoins de la population, lourdement touchée par un conflit qui a duré 44 jours, de fin septembre à début novembre 2020. Familles déplacées, parents, épouses, sœurs, frères et enfants de milliers de soldats ayant perdu la vie lors des combats. Ecoles, maisons, logements et monuments détruits par les tirs d’obus. Tout est à reconstruire. Il s’agit maintenant de définir, avec le représentant du Haut-Karabagh en France, quels fonds pourraient être rapidement mobilisés par Villeurbanne pour aider plus particulièrement les habitants de Chouchi, réfugiés à Stepanakert et dans plusieurs villes d’Arménie.

DIAPORAMA (cliquez sur les flèches pour faire défiler les photos)

En classe d'apprentissage du français à Martouni

Une école touchée par les tirs d'obus a Martouni

Entretien avec le ministre des affaires étrangères du Haut-Karabagh (au milieu, à droite).

Cimetière Erablur de Erevan

Dans un classe d'informatique à Martouni

Maison détruite à Martouni

Au cimetière de Stepanakert

Une habitante de Matrouni (à droite), dont la maison a été détruite

Recueillement au mémorial du génocide à Yerevan

Photos de soldats à Stepanakert, tombés pendant la guerre des 44 jours